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Book
Holy Hills of the Ozarks : Religion and Tourism in Branson, Missouri
Author:
ISBN: 1421428350 Year: 2007 Publisher: Johns Hopkins University Press

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Abstract

Over the past century, Branson, Missouri, has attracted tens of millions of tourists. Nestled in the heart of the Ozark Mountains, it offers a rare and refreshing combination of natural beauty and family-friendly recreation—from scenic lakes and rolling hills to theme parks and variety shows. It has boasted of big name celebrities, like Wayne Newton, Andy Williams, and Petula Clark, as well as family entertainers like Mickey Gilley, the Shanghai Magic Troupe, Jim Stafford, and Yakov Smirnoff.But there is more to Branson's fame than just recreation. As Aaron K. Ketchell discovers, a popular variant of Christianity underscores all Branson's tourist attractions and fortifies every consumer success. In this lively and engaging study, Ketchell explores Branson's unique blend of religion and recreation. He explains how the city became a mecca of conservative Christianity—a place for a "spiritual vacation"—and how, through conscious effort, its residents and businesses continuously reinforce its inextricable connection with the divine. Ketchell combines the study of lived religion, popular culture, evangelicalism, and contemporary American history to present an accurate and honest account of a distinctly American phenomenon.

Keywords

Christianity


Periodical
Welt-sichten.
Year: 2007 Publisher: Frankfurt : Verein zur Förderung der Entwicklungspolitischen Publizistik e.V.

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Abstract


Periodical
Reflexus : revista semestral de teologia e ciências das religiões
ISSN: 19820828 23584874 Year: 2007 Publisher: Vitória, ES$nFaculdade Unida

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Abstract


Periodical
Journal of religion, conflict, and peace.
Author:
Year: 2007 Publisher: [Richmond, IN] : Plowshares

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Book
Attente de Dieu
Author:
ISBN: 1412358086 Year: 2007 Publisher: Chicoutimi : J.-M. Tremblay,

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Abstract

Ces textes, rassemblés sous le titre, Attente de Dieu, sont parmi les plus beaux que Simone Weil m'ait laissés ; ils ont tous été composés entre janvier et juin 1942 ils se rattachent tous, de plus ou moins loin, au dialogue que, depuis le mois de juin précédent, nous poursuivions ensemble à l'écoute de la Vérité, elle, attirée par le Christ, moi, prêtre depuis treize ans. En 1949 j'avais consenti à publier ces textes et surtout la correspondance - qui en est la partie la plus belle - afin de faire connaître les pages les plus éclairantes de son expérience intérieure et de sa personnalité ; mais la raison de cette publication était surtout, comme Simone en avait exprimé explicitement le désir lors de nos diverses rencontres, de donner à d'autres la possibilité d'entrer dans ce dialogue. Nous en avions parlé souvent, j'en suis témoin, et c'est dans cet esprit qu'elle me donna ces textes et ceux d'Intuitions pré-chrétiennes. Dans sa lettre d'adieu, elle m'écrivait, me parlant de ses pensées : « Je ne vois que vous dont je puisse implorer l'attention en leur faveur. Votre charité, dont vous m'avez comblée, je voudrais qu'elle se détourne de moi et se dirige vers ce que je porte en moi, et qui vaut, j'aime à le croire, beaucoup mieux que moi. » J'ai choisi le titre Attente de Dieu, parce qu'il était cher à Simone ; elle y voyait la vigilance du serviteur tendu vers le retour du maître. Ce titre exprime aussi le caractère inachevé qui, à cause même des nouvelles découvertes spirituelles qu'elle fit alors, tourmentait Simone. Ce rappel, si bref soit-il, est d'autant plus nécessaire que nous ne sommes pas, ici, en face de textes destinés à être publiés et conçus pour vivre en quelque sorte indépendamment de leur auteur. Ces textes, au contraire, les lettres surtout, font, si l'on peut ainsi dire, partie d'elle-même et on ne peut les comprendre sans les situer dans sa recherche, dans son évolution, et même dans le dialogue où elle s'était engagée. Simone Weil est née à Paris, le 3 février 1909. Elle ne reçut aucune éducation religieuse : « J'ai été élevée par mes parents et par mon frère dans un agnosticisme complet », m'écrivait-elle (Let. IV). Un des traits dominants de son enfance fut un amour compatissant pour les malheureux ; elle avait cinq ans environ lorsque la guerre de 1914 et le marrainage d'un soldat lui firent découvrir la misère. Elle ne voulut plus prendre un seul morceau de sucre afin de tout envoyer à ceux qui souffraient au front. Pour comprendre le caractère extraordinaire de cette compassion - qui sera un des traits dominants de sa vie - il faut se souvenir de l'aisance matérielle, de la largeur d'esprit et de l'affection dont ses parents ne cessèrent de l'entourer. La précocité de son intelligence lui valut tous les succès scolaires. C'est au lycée Duruy qu'elle fit son année de philosophie afin d'y recevoir l'enseignement de Le Senne ; à Henri-IV elle prépara le concours d'entrée à Normale et reçut profondément l'influence d'Alain. Elle avait dix-neuf ans quand elle fut reçue au concours de Normale et vingt-deux quand elle passa son agrégation : 1928-1931. Pendant les années d'école, elle se montra vivement « antitala » ; elle était même assez antireligieuse pour se brouiller quelques mois avec une camarade qui se convertissait au catholicisme. Elle abordait la vie d'enseignante et son action humaine dans un complet agnosticisme, ne voulant se poser le problème de Dieu et ne pouvant résoudre l'énigme de la destinée. À cette époque, elle entra en contact avec le mouvement syndicaliste et la Révolution prolétarienne. Désormais elle ne cessera de collaborer à ces mouvements, sans toutefois s'inscrire à aucun parti. jamais elle ne me parla des personnalités importantes qu'elle eut l'occasion de rencontrer ou d'aider, ni du rôle qu'elle eut à jouer ; elle savait ma pensée : si un prêtre se sent lié à tout le progrès humain, il doit se tenir aussi loin que possible de toute question politique. Pour elle, aussi, c'était l'amour des malheureux qui dominait. Un de ses compagnons de luttes sociales, jeune ouvrier, me disait : « Elle n'a jamais fait de politique », et il ajoutait : « Si tout le monde était comme elle, il n'y aurait plus de malheureux. » Cette compassion des malheureux est un des traits essentiels de sa vie profonde. Le Puy fut son premier poste ; là elle commencera à donner libre cours à cette communion réelle à la misère des autres. Pour avoir droit à l'allocation de chômage, les ouvriers étaient astreints à de durs travaux ; elle les voyait casser des cailloux. Comme eux et avec eux, elle voulut manier le pic. Elle les accompagna dans je ne sais quelle démarche de revendication à la préfecture. Elle en vint à se contenter, pour vivre, de la somme correspondant à l'allocation quotidienne de chômage, distribuant aux autres le surplus de ses ressources. Il arrivait de voir la porte du jeune professeur de philosophie, le jour où elle touchait ses appointements, assiégée par la file de ses nouveaux amis. On la verra même, plus tard, pousser la délicatesse jusqu'à donner largement de son temps -- ce temps qu'elle arrachait à ses livres passionnément aimés - pour jouer à la belote avec certains, s'essayer à chanter avec d'autres et se faire vraiment l'une d'entre eux. Pourtant, Simone était loin de se sentir satisfaite : à qui aime vraiment, la compassion est un tourment. En 1934 elle décida de prendre, dans toute sa dureté, la condition ouvrière. Elle y connut la faim, la fatigue, les rebuffades, l'oppression du travail à la chaîne, l'angoisse du chômage. Pour elle, ce n'était pas une « expérience », mais une incarnation réelle et totale. Son « journal d'usine » est un témoignage poignant. L'épreuve surpassa ses forces ; son âme fut comme écrasée par cette conscience du malheur, elle en restera marquée toute sa vie. Lorsque éclata, en 1936, la guerre d'Espagne, Simone - qui avait largement pris part aux grèves sur le tas (articles de la Révolution prolétarienne) - n'hésita pas à partir pour le front de Barcelone ; un accident causé par son manque d'habileté (elle s'ébouillanta avec de l'huile) l'en fit presque aussitôt évacuer. Elle ne parlait guère de cet événement de sa vie, si ce n'est pour rendre témoignage à tel ou tel de ses compagnons d'armes. En 1938, elle assiste à la semaine sainte à Solesmes et, quelques mois plus tard, c'est la grande illumination qui changea sa vie : « Le Christ est descendu et m'a prise. » Il est difficile de déterminer avec précision la date de cet événement car elle en garda jalousement le secret ; aucun de ses papiers personnels n'en parle ; aucun de ses intimes, semble-t-il, n'en eut confidence, à part la lettre à Joë Bousquet où elle y fait allusion et ce qu'elle m'en a dit de vive voix ou par écrit. Ce qui est évident, c'est qu'au milieu des tâtonnements de sa recherche, des oscillations de sa pensée, elle n'est jamais revenue là-dessus ; dans l'expérience de ce sentiment inconnu, elle porta un regard tout nouveau sur le monde, ses poésies et ses traditions religieuses et surtout sur l'action au service des malheureux où elle intensifia ses efforts. Puis, vint la guerre. Elle ne quitta Paris qu'après que la capitale fut déclarée ville ouverte. C'est alors qu'elle arriva à Marseille. La décision administrative frappant les juifs l'y atteignit. En juin 1941, elle vint me voir. Dans l'une de nos premières rencontres elle me parla de son désir de partager la condition et les labeurs du prolétariat agricole. je me rendis facilement compte qu'il ne s'agissait pas d'une idée irréfléchie, mais d'une volonté profonde ; je demandais alors à Gustave Thibon de servir ce projet ; elle passa ainsi plusieurs semaines dans la vallée du Rhône et connut le dur travail des vendanges. Comment présenter ces mois de Marseille ? Son extrême réserve et cette pudeur d'âme qu'elle cachait sous le ton inflexible et monotone de discussions d'idées la faisait parler peu d'elle-même et de ses activités. Mais cependant, pouvait-elle passer inaperçue ? Pour ce qui est de ses activités littéraires, elle était en contact avec les milieux des Cahiers du Sud et elle écrivait sous le pseudonyme d'Émile Novis (anagramme de son nom) ; on trouve d'elle plusieurs articles importants, notamment « l'Iliade ou le poème de la force », « l'agonie d'une civilisation vue à travers un poème épique », « en quoi consiste l'inspiration occitanienne », sans parler de quelques poèmes. Plus encore, le meilleur de son temps était consacré à des traductions de Platon, à des textes pythagoriciens qui ont paru sous le titre d'Intuitions pré-chrétiennes et à la composition des exposés qui constituent, en partie, ce livre, Attente de Dieu. Ces textes, elle les lisait à quelques amis, dans des réunions tout intimes où elle s'appliquait à communiquer son amour de la Grèce et surtout des réalités atteintes par les grands mystiques. Comme lectures de choix, à cette époque, il est assez remarquable qu'elle se soit attachée aux mémoires du Cardinal de Retz et aux Tragiques d'Aubigné. Lectures et écrits ne remplissaient pas sa vie ; le goût de son esprit et la volonté de compassion qui la caractérisèrent ne pouvaient la laisser étrangère à la vie des plus malheureux ; elle les recherchait et se mêlait à eux pour les connaître et les aider. Elle s'intéressa tout particulièrement aux Annamites démobilisés attendant leur rapatriement ; constatant l'injustice de leur sort, elle sut si bien manœuvrer qu'elle fit limoger le directeur du camp ! En une circonstance, cet amour des êtres lui sauva la vie : arrêtée pour gaullisme, longuement interrogée, menacée de prison « où elle, agrégée de philosophie, serait mêlée aux prostituées », elle faisait cette sensationnelle réponse : « J'ai toujours désiré connaître ce milieu et, pour y entrer, je n'ai jamais vu qu'il puisse y avoir pour moi un autre moyen que celui-là : la prison. » À ces mots, le juge de faire signe à son secrétaire de la relâcher comme folle ! Et, puisque nous en sommes au chapitre de la clandestinité, Simone se donna à la diffusion de Témoignage chrétien ; elle préférait ce mouvement à ceux qui existaient alors ; plus tard, pour obtenir de se faire parachuter en France, elle faisait valoir les liens qui l'unissaient avec les organisateurs du mouvement ; elle écrivait à ce propos à Maurice Schumann : « Je crois que c'est de loin ce qu'il y a de meilleur en France en ce moment. Puisse-t-il ne leur arriver aucun malheur ! » (Écrits de Londres, éd. Gallimard). Sa grande préoccupation restait pourtant la question religieuse : longuement elle scrutait l'Évangile, en discutait avec ses amis qui aimaient à la retrouver à la messe du dimanche ; fréquemment elle venait me voir et, pour avoir plus de solitude, assistait parfois, en semaine, à une messe matinale. N'est-ce pas à cette époque qu'elle m'écrivait : « Mon cœur a été transporté pour toujours, je l'espère, dans le Saint Sacrement exposé sur l'Autel. » Ce mot en dit long sur l'attrait qu'exerçait sur elle le silence vivant de nos églises ! Les semaines et les mois de Marseille passèrent vite ainsi. En mars 1942 je fus nommé à Montpellier, mais je revins assez souvent à Marseille pour la voir plusieurs fois avant son départ ; cet éloignement fut l'occasion de ses plus belles lettres. Le 16 mai 1942 elle s'embarquait avec ses parents. Arrivée à New York, elle employa toutes ses relations, toutes ses anciennes amitiés, pour se faire rappeler à Londres ; elle souffrait comme d'une désertion d'avoir quitté la France et lançait des appels tels ceux-ci : « Je vous en prie, faites-moi venir à Londres, ne me laissez pas dépérir de chagrin ici ! », « je fais appel à vous pour me sortir de la situation morale par trop douloureuse où je me trouve », « je vous supplie de me procurer, si vous le pouvez, la quantité de souffrances et de dangers utiles qui me préservera d'être stérilement consumée par le chagrin. je ne peux pas vivre dans la situation où je me trouve en ce moment. Cela me met tout près du désespoir. » (à M. Schumann.) Son amour des déshérités ne la quitta pas pour autant. « J'explore Harlem, écrivait-elle à un de ses amis, je vais tous les dimanches dans une église baptiste de Harlem où, sauf moi, il n'y a pas un Blanc. » Elle entrait en contact avec des jeunes filles noires, les invitait chez elle ; et ce même ami qui la connaissait bien me disait : « Il est certain que si Simone était restée à New York elle se serait faite Noire ! » Pourtant son cœur était dans l'univers : « Le malheur répandu sur la surface du globe terrestre m'obsède et m'accable au point d'annuler mes facultés et je ne puis les récupérer et me délivrer de cette obsession que si, moi-même, j'ai une large part de danger et de souffrance. C'est donc une condition pour que j'aie la capacité de travailler. » (à M. Schumann.) Londres, où elle arrivait en fin novembre 1942, lui causa une déception cruelle. Elle n'avait qu'un but : obtenir une mission pénible et dangereuse, se sacrifier utilement, soit pour sauver d'autres vies, soit pour accomplir quelque acte de sabotage. Elle le demande de vive voix ; elle insiste par écrit : « Je ne peux m'empêcher d'avoir l'impudeur, l'indiscrétion des mendiants. Comme les mendiants, je ne sais, en guise d'arguments, que crier mes besoins ... » Il était imprudent d'accepter. On la consacra à certains travaux de pensée. Ainsi passait-elle des heures dans son bureau, s'y nourrissant souvent d'un simple sandwich, y restant le soir et, quand elle avait laissé passer l'heure du dernier métro, y dormant, appuyée sur la table ou étendue par terre. Quand elle suppliait avec instance pour obtenir cette « mission », elle notait : « L'effort que je fais ici sera dans peu de temps arrêté par une triple limite. L'une morale, car la douleur de me sentir hors de ma place, croissant sans cesse, finira malgré moi, je le crains, par entraver ma pensée. L'autre intellectuelle ; il est évident qu'au moment de descendre vers le concret, ma pensée va s'arrêter faute d'objet. La troisième physique, car la fatigue grandit. » L'événement, hélas ! devait lui donner raison. En avril, il fallut se rendre à la réalité et la faire admettre à l'hôpital Middlesex ; les soins qu'elle y reçut ne purent la rétablir à cause de son extrême faiblesse causée aussi bien par la fatigue que par les privations. Elle désire la campagne et obtient d'être transférée au sanatorium d'Ashford où elle s'éteignait le 24 août 1943. À travers les textes des semaines précédant sa mort, il semble bien qu'elle restait encore très éloignée, en des points multiples, de la foi catholique en sa plénitude et elle sentait profondément que seule la mort la transporterait en cette vérité dont elle se savait encore éloignée. Elle fixait toujours son attention sur les points qui lui restaient obscurs [1] afin d'en recevoir la lumière -les grandes lignes dominant sa vie dont elle avait pris conscience dans les mois de Marseille et qui sont comme le fond d'Attente de Dieu. J.-M. Perrin.


Book
Testament de Jean Meslier : [avec un abrégé de la vie de l'auteur et un avant-propos]
Authors: ---
ISBN: 1412358868 Year: 2007 Publisher: Chicoutimi : J.-M. Tremblay,

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Abstract


Book
The Islamic challenge : politics and religion in Western Europe
Author:
Year: 2007 Publisher: Oxford : Oxford University Press,

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Based on 300 interviews with Muslim leaders, this innovative text reveals what Muslim leaders in Europe really want and the myriad ways in which Islam can become a European religion.

The reformation of rights : law, religion, and human rights in early modern Calvinism
Author:
ISBN: 0511819374 0521818427 0521521610 Year: 2007 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

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John Calvin developed arresting new teachings on rights and liberties, church and state, and religion and politics that shaped the law of Protestant lands. Calvin's original teachings were periodically challenged by major crises - the French Wars of Religion, Dutch Revolt, the English Civil War, American colonization, and American Revolution. In each such crisis moment, a major Calvinist figure emerged - Theodore Beza, Johannes Althusius, John Milton, John Winthrop, John Adams, and others - who modernized Calvin's teachings and translated them into dramatic new legal and political reforms. This rendered early modern Calvinism one of the driving engines of Western constitutionalism. A number of basic Western laws on religious and political rights, social and confessional pluralism, federalism and constitutionalism, and more owe a great deal to this religious movement. This book is essential reading for scholars and students of history, law, religion, politics, ethics, human rights, and the Protestant Reformation.


Book
L'Ars notoria au Moyen Âge : introduction et édition critique
Author:
ISBN: 9788884502537 8884502535 Year: 2007 Volume: 21 1 Publisher: Firenze: SISMEL,

The divine sense : the intellect in patristic theology
Author:
ISBN: 0521793173 0511278438 9780511278433 0511277237 9780511277238 0511277822 9780511277825 9780511279034 0511279035 9780521793179 9780511487835 0511487835 9780521126892 0521126894 1107158710 1280850264 0511320493 Year: 2007 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

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Abstract

A. N. Williams examines the conception of the intellect in patristic theology from its beginnings in the work of the Apostolic Fathers to Augustine and Cassian in the early fifth century. The patristic notion of intellect emerges from its systematic relations to other components of theology: the relation of human mind to the body and the will; the relation of the human to the divine intellect; of human reason to divine revelation and secular philosophy; and from the use of the intellect in both theological reflection and spiritual contemplation. The patristic conception of that intellect is therefore important for the way it signals the character of early Christian theology as both systematic and contemplative and as such, distinctive in its approach from secular philosophies of its time and modern Christian theology.

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